Interview de Jeremy Minui

jerem-minui

Bonjour, peux-tu nous présenter ton parcours en quelques mots ?

Bonjour, Jeremy Minui, j’ai vingt-six ans et j’ai eu la chance de gagner le prix du public du Festival Ptit Clap l’année dernière avec mon film Chronique de l’Ennui.

 

Qu’est-ce qui t’as amené à la réalisation ?

Ce qui m’a poussé à être réalisateur c’est l’envie de raconter des histoires et de réunir des gens de tous milieux sociaux confondus dans la même salle obscure. N’ayant pas fait d’école de cinéma, c’est à l’aide d’un petit caméscope que j’ai commencé à apprendre mon métier en filmant des amis, en écrivant de petits court métrages…

 

As-tu d’autres activités en dehors de la réalisation ?

Non, je ne fais que réaliser. C’est une passion qui occupe tout mon temps et toutes mes nuits.

 

Des projets en cours ? Une actualité à partager ?

Je prépare actuellement mon premier long métrage Pensée Nocturne, un thriller de 120m qui se déroule en Corse avec Norah Lehembre, Daniel Duval, Nicole Calfan… Le tournage est prévu pour septembre 2013.

 

Revenons sur tes projets passés, y a-t-il eu une étape clé lors de la réalisation d’un de tes films ? Un moment qui t’as fait mûrir en tant que cinéaste ?

J’ai eu la chance de rencontrer Laurent Kikoïne et la Mango Productions qui m’ont donné les moyens d’aller au bout de mon dernier court, Chronique de l’Ennui. Laurent Kikoïne m’a entouré d’une équipe très talentueuse et totalement dévouée au scénario. Cela m’a énormément poussé. Sans eux rien n’aurait été possible. Ce qui m’a réellement fait mûrir c’est ma rencontre avec la Mango productions qui fut la toute première boîte de production à croire en mes projets. Depuis, j’aime travailler avec la même équipe. C’est devenu comme une famille.

 

Quels seraient tes conseils pour un jeune qui souhaiterait se lancer dans la réal ?

Si je devais donner un conseil à un jeune réalisateur, ce serait de n’écouter que son instinct. Filmer, écrire, filmer et encore écrire pour ne faire que progresser. Tout a déjà été dit. C’est la manière de montrer les choses qui comptent, avoir son propre point de vue…

 

Quelques mots sur ta participation au Festival Ptit Clap ?

Le Festival Ptit Clap a été pour moi un véritable déclencheur. Après ce premier prix du public une énergie très positive a enveloppé le film (Chronique de l’ennui). Nous avons gagné cinq autres prix dans d’autres festivals. C’est comme ça que j’ai pu monter mon premier long métrage. D’ailleurs je tiens à souligner la grande efficacité et la gentillesse de l’équipe du Festival qui aide les jeunes réalisateurs au quotidien dans leurs projets. Isabelle Pauvert et son équipe font un travail exceptionnel et humain auprès des jeunes réalisateurs.

 

Quelles sont tes influences ? Les réalisateurs et les films qui t’ont inspiré ?

Tous les films que j’ai aimés à la fois techniquement et émotionnellement. J’ai une grande passion pour François Truffaut et sa Nuit américaine. Pour moi ce film est le parfait mode d’emploi du réalisateur. Je le regarde toujours avant un tournage comme un rite ou peut-être pour me rassurer….

 

Suivez @JMinui sur Twitter >>>

Interview de Jeremy Minui

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Bonjour, peux-tu nous présenter ton parcours en quelques mots ?

Bonjour, Jeremy Minui, j’ai vingt-six ans et j’ai eu la chance de gagner le prix du public du Festival Ptit Clap l’année dernière avec mon film Chronique de l’Ennui.

 

Qu’est-ce qui t’as amené à la réalisation ?

Ce qui m’a poussé à être réalisateur c’est l’envie de raconter des histoires et de réunir des gens de tous milieux sociaux confondus dans la même salle obscure. N’ayant pas fait d’école de cinéma, c’est à l’aide d’un petit caméscope que j’ai commencé à apprendre mon métier en filmant des amis, en écrivant de petits court métrages…

 

As-tu d’autres activités en dehors de la réalisation ?

Non, je ne fais que réaliser. C’est une passion qui occupe tout mon temps et toutes mes nuits.

 

Des projets en cours ? Une actualité à partager ?

Je prépare actuellement mon premier long métrage Pensée Nocturne, un thriller de 120m qui se déroule en Corse avec Norah Lehembre, Daniel Duval, Nicole Calfan… Le tournage est prévu pour septembre 2013.

 

Revenons sur tes projets passés, y a-t-il eu une étape clé lors de la réalisation d’un de tes films ? Un moment qui t’as fait mûrir en tant que cinéaste ?

J’ai eu la chance de rencontrer Laurent Kikoïne et la Mango Productions qui m’ont donné les moyens d’aller au bout de mon dernier court, Chronique de l’Ennui. Laurent Kikoïne m’a entouré d’une équipe très talentueuse et totalement dévouée au scénario. Cela m’a énormément poussé. Sans eux rien n’aurait été possible. Ce qui m’a réellement fait mûrir c’est ma rencontre avec la Mango productions qui fut la toute première boîte de production à croire en mes projets. Depuis, j’aime travailler avec la même équipe. C’est devenu comme une famille.

 

Quels seraient tes conseils pour un jeune qui souhaiterait se lancer dans la réal ?

Si je devais donner un conseil à un jeune réalisateur, ce serait de n’écouter que son instinct. Filmer, écrire, filmer et encore écrire pour ne faire que progresser. Tout a déjà été dit. C’est la manière de montrer les choses qui comptent, avoir son propre point de vue…

 

Quelques mots sur ta participation au Festival Ptit Clap ?

Le Festival Ptit Clap a été pour moi un véritable déclencheur. Après ce premier prix du public une énergie très positive a enveloppé le film (Chronique de l’ennui). Nous avons gagné cinq autres prix dans d’autres festivals. C’est comme ça que j’ai pu monter mon premier long métrage. D’ailleurs je tiens à souligner la grande efficacité et la gentillesse de l’équipe du Festival qui aide les jeunes réalisateurs au quotidien dans leurs projets. Isabelle Pauvert et son équipe font un travail exceptionnel et humain auprès des jeunes réalisateurs.

 

Quelles sont tes influences ? Les réalisateurs et les films qui t’ont inspiré ?

Tous les films que j’ai aimés à la fois techniquement et émotionnellement. J’ai une grande passion pour François Truffaut et sa Nuit américaine. Pour moi ce film est le parfait mode d’emploi du réalisateur. Je le regarde toujours avant un tournage comme un rite ou peut-être pour me rassurer….

 

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